Le 1er mai, jour de la fête du travail, les citoyen-nes défilent, non pas pour se fêter leur travail, mais au contraire pour dire tout ce qui n'y va pas. Nous avons l'habitude d'y voir syndicats et partis politiques, réclamant hausse des salaires, baisse du temps de travail, plus de CDI... pour tous.
À Osez le Féminisme! nous profitons de cette journée pour défendre les droits de tout-te-s et dénoncer les inégalités subies par les femmes dans le monde du travail, en voici quelques exemples, illustrés par un petit jeu :
VRAI OU FAUX?
VRAI OU FAUX?
Voici donc le constat, les femmes :
- gagnent en moyenne 27% de moins que les hommes
- représentent 83% des temps partiels
- représentent 57% des chômeur-ses non indminisé-es
Elles ont de plus souvent des carrières interrompues qui pèsent sur leur retraite, déjà peu élevée, à cause des raisons précédentes : 2 retraité-es pauvres sur 3 est une femme et 1 retraitée sur 3 perçoit moins de 700€.
Tout cela malgré la loi Roudy de 1983 qui institue l'égalité des salaires entre les femmes et les hommes et la loi sur l'égalité salariale votée en novembre 2010 et censée être appliqué depuis 2013, mais seulement dans les entreprises de plus de 50 salarié-es... Et ça n'ira pas en s'arrangeant puisque l'Accord National Interprofessionnel (ANI) ne prévoit rien sur l'égalité salariale et que le rapport Zuber la préconisant n'a pas été adopté au Parlement européen.
Bref, les femmes sont les premières touchées par la précarité et les premières victimes de l'austérité.
Tout cela malgré la loi Roudy de 1983 qui institue l'égalité des salaires entre les femmes et les hommes et la loi sur l'égalité salariale votée en novembre 2010 et censée être appliqué depuis 2013, mais seulement dans les entreprises de plus de 50 salarié-es... Et ça n'ira pas en s'arrangeant puisque l'Accord National Interprofessionnel (ANI) ne prévoit rien sur l'égalité salariale et que le rapport Zuber la préconisant n'a pas été adopté au Parlement européen.
Bref, les femmes sont les premières touchées par la précarité et les premières victimes de l'austérité.
C'est pourquoi nous vous donnons RDV JEUDI 1ER MAI À 10H À L'ARC DE TRIOMPHE À MONTPELLIER avec comme mot d'ordre L'EXIGENCE DE L'ÉGALITÉ PROFESSIONNELLE.
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